Encette pĂ©riode d'explosion des cas de Covid-19 en France, la question des Ă©coles reste lancinante. Depuis lundi 29 mars, un seul cas justifie la Quepensez vous de la citation: ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons!" Soulignez l'idĂ©e maĂź" Obtenir ce document Voir sur l'admin Extrait du document. Aristote lui-mĂȘme s'Ă©tonne que « des esclaves ont des corps d'hommes libres, et des hommes libres des Ăąmes d'esclaves « (Politiques, I, 5, 1254-b) sans en tirer les consĂ©quences. - D'autre part, elles se focalisent sur un Ladifficile adaptation des Ă©coles musulmanes aux rĂšgles de l’État Par Caroline Beyer PubliĂ© le 12/10/2020 Ă  20:52 , Mis Ă  jour le 13/10/2020 Ă  18:08 Vay Tiền Nhanh. LUNDI 6 FEVRIER En milieu favorisĂ© », on supprime des classes de maternelles. FavorisĂ© »?La politique irresponsable de suppressions de postes dans les Ă©coles est appliquĂ©e avec zĂšle dans le les postes Eclair des zones sensibles, ni les lycĂ©es des villes en difficultĂ©, ni les sections professionnelles ne sont Ă©pargnĂ©es!Ce matin, devant la maternelle Aicard du faubourg de BĂ©thune Ă  Lille, les parents manifestaient contre une inadmissible fermeture de classe.“Suppressions dans les quartiers favorisĂ©s pour redĂ©ployer vers les zones en difficultĂ©â€ dixit la Rectrice??Ce matin, devant l’école Aicard il y avait une maman en sandalettes
 moins 6°C dehors
 “favorisĂ©e”???47, c’est la suppression nette des classes de maternelles dans le dĂ©partement du Nord. 70 fermetures et 23 ouvertures18 h RASED en pĂ©ril. Projection d’un film racontant le travail spĂ©cifique des rĂ©-Ă©ducateurs. L'aide personnalisĂ©e, pendant le temps scolaire, dans l'Ă©cole, est prĂ©sentĂ©e au travers de plusieurs exemples oĂč l'on voit la place du jeu pour que des enfants qui ne vont pas bien, retrouvent le chemin des ronde avec rééducateurs, pĂ©dopsychiatres, enseignants. Au passage on fustige le dĂ©putĂ© Daniel Fasquelle, UMP du Pas-de-Calais, qui passe Ă  la tĂ©lĂ© sur France 2, dimanche, pour se faire la peau de la psychanalyse. Et le pĂ©dopsychiatre d'une part d'insister sur l'importance de la formation, mais hĂ©las d'autre part de globaliser sa critique DES CMPP accueillent en fin de course les enfants, aprĂšs les RASED quand subsistent les problĂšmes. Aujourd'hui les RASED sont frappĂ©s par les suppressions de postes et les postes en CMPP de l'Ă©ducation sont le film, parlent psychologues et psychiatres comme Boris Cyrulnik ou Serge Tisseron. Comment les ministres successifs de l'Ă©ducation et Sarkozy peuvent-ils Ă  ce point mĂ©priser de tels talents et se lancer dans la destruction massive de ce qui marche! Un tĂ©moin Ă©voque la mise Ăą sac des RASED, citant Gori et l'appel des appels. L'Ă©cole est sommĂ©e de privilĂ©gier la sĂ©lection de ceux qui serviront l'Ă©conomie.“En 2005, 165 maitres G rééducateurs en Pas de Calais... Aujourd'hui 35!”, dit un enseignant qui n'a plus d'espoir dans le politique dans cette dĂ©mocratie qui concentre les pouvoirs de façon pyramidale. Il en appelle soit Ă  mourir debout, soit Ă  la rue...Ce n'est pas gai. L'ambiance est discussion du terme rééducateur, qui ne saurait ĂȘtre seulement celui qui apprend Ă  obéïr et Ă  se blues la maltraitance institutionnelle que subissent ces professionnels avec une Ă©pĂ©e de DamoclĂšs sur la tĂȘte et une nĂ©gation de leur rĂŽle, de leur vocation et de leur savoir enfants du film qui ne semblent pas cumuler leurs difficultĂ©s et des difficultĂ©s sociales sont des preuves vivantes que le jeu suffit Ă  dĂ©bloquer des enseignant raconte comment on est lĂ  loin du couperet de l'Ă©valuation formatĂ©e qui n'attend pas, et aussi du contraste avec la classe oĂč l'on ne joue plus, y compris en maternelle sans perspective de l'Ă©valuation du lendemain. Celle qui inquiĂšte parents et plus on perd le sens de l'Ă©valuation de la valeur de l'individu qui ne se mesure pas Ă  la seule mesure des ne prend plus le temps, on compte chaque minute consacrĂ©e Ă  un du jeu par les adultes des RASED contribue hĂ©las Ă  les discrĂ©diter devant des dĂ©cideurs prompts Ă  ne retenir que le temps d'enseignement rĂ©putĂ© 7 FEVRIER16 H 30 - BUARQUEAncien ministre de l’éducation de Lula, actuellement SĂ©nateur du BrĂ©sil, il s’engage dans une prĂ©paration alternative de RIO, confĂ©rence de l’ONU sur le dĂ©veloppement durable. Il foisonne d’idĂ©es. Il faut dire qu’il travaille avec Edgar Morin et souhaite installer un tribunal de la dĂ©gradation de l’environnement. Il inventorie les grandes personnalitĂ©s qui pourraient l’animer. Sa liste est dĂ©jĂ  longue, je lui suggĂšre Vandana Schiva, qui Ă©tait venue pour mon colloque sur la nous dĂ©couvrons des amis communs Didier Moreau de Poitiers, fĂ©ru de culture scientifique et proche d’Edgar Morin, et puis le photographe Sebastio Salgado, Ă©conomiste de formation, avec qui il Ă©tait sur les bancs de l’ genre de rencontre est passionnante, elle ouvre sur le monde, elle rend espoir. Mais en mĂȘme temps vient la question morale qu’est-ce que je fais de ce contact, comment j’aide Ă  cette dynamique ?17 H 30 - CONTROLE DES LOISUne initiative de David Assouline, au nom de sa nouvelle commission, permet cette sĂ©ance publique au cours de laquelle les parlementaires jouent leur rĂŽle en interpellant le gouvernement sur les dĂ©crets non loi qui n’a pas ses dĂ©crets sortis est une loi sans effet sur le terrain. Certains attendent des annĂ©es. D’autres sont rĂ©digĂ©s par d’habiles mains perfides qui minorent l’ambition du vote des puis, mais ce n’est pas le sujet, certains sont inapplicables, comme l’obligation faite aux maires d’assurer l’accueil des enfants en cas de grĂšve des des efforts de rapiditĂ© ont Ă©tĂ© fait par le gouvernement, mais ils sont inĂ©gaux la commission des lois par exemple ne bĂ©nĂ©ficie que d’un taux d’exĂ©cution de 50%. Le Grenelle aussi est en souffrance .22 H 40 GAZ DE SCHISTESC’est une question avec dĂ©bat il n’y a pas de vote qui me donne l’occasion d’expliquer notre opposition catĂ©gorique Ă  cette suicidaire fuite en avant exploser des roches en grande profondeur pour les rĂ©duire en morceaux afin qu’elles libĂšrent des gouttelettes de pĂ©trole ou de permis d’exploration-exploitation avaient Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©s sous le ministĂšre de Borloo. Devant la colĂšre de tous les territoires concernĂ©s, Borloo devenu, entre temps, dĂ©putĂ© avait dĂ©posĂ© une proposition de loi pour les interdire !!!Cette interdiction, vantĂ©e Ă  grand renfort de communication par le gouvernement, ne concernait hĂ©las que la mĂ©thode de fracturation hydraulique. C’est vrai que c’est la pire fluides chargĂ©s de solvants toxiques, fracturation de la roche et libĂ©ration de substances dangereuses pour l’environnement et la santĂ©, et en profondeur, rĂ©actions chimiques entre ces composants, libĂ©rant des le texte votĂ© laissĂ© malhonnĂȘtement la porte ouverte pour 61 permis, dont les entreprises demandeuses s’apprĂȘtent Ă  d’autres redoutables mĂ©thodes, comme la fracturation les lobbies sont Ă  l’Ɠuvre, et un vaste colloque comment sortir de l’interdiction française ?» vient de voir le ministre le clĂŽturer avec complaisance. Comme disent les associations L'esprit du Grenelle semble s'Ă©loigner peu Ă  peu
 Citant une table ronde organisĂ©e dans le cadre du Club Energie & DĂ©veloppement durable par le dĂ©putĂ© François-Michel Gonnot UMP – Oise sous le haut patronage du Premier ministre, rĂ©unissant le ministĂšre de l'Industrie et des reprĂ©sentants de l'industrie le dĂ©bat tous les protagonistes des hydrocarbures dits non conventionnels » utilisent les vieilles recettes usĂ©es qui ont entourĂ© la promotion du nuclĂ©aire mensonge sur les chiffres, minimisation des dĂ©gĂąts, accusation d’obscurantisme contre ceux qui tirent la sonnette d’alarme, et enfin l’ultimatum c’est la pĂ©nurie ou nous !Bien entendu le gouvernement oublie ses engagements internationaux de rĂ©duction des gaz Ă  effets de serre, et ne dĂ©veloppe aucune politique responsable de sobriĂ©tĂ© et d’efficience que les orateurs dĂ©veloppent Ă  la tribune leurs arguments, Mariani le ministre lit son Ipad
Sortie de nuit tout est soudain devenu blanc de neige, cela glisse, il fait moins cinq, et mon chauffeur n’est pas lĂ  ; j’apprendrai le lendemain que le sms qui lui a Ă©tĂ© envoyĂ© n’a pas Ă©tĂ© reçu. Merci SFR qui a emportĂ© le marchĂ© de la flotte mobile du SĂ©nat, et qui nous inflige depuis des ruptures de communication, des sms qui n’arrivent pas, ou quelques heures plus tard, des zones blanches. HĂ©las Orange n’a pas rĂ©pondu, et nous avons du quitter l’opĂ©rateur 8 FEVRIER10 H LE LOUVREAu SĂ©nat, la Commission Culture, Education et Communication auditionne Monsieur Henri Loyrette, prĂ©sident du musĂ©e du Louvre et Monsieur HervĂ© Barbaret, administrateur gĂ©nĂ©ral. Un compte-rendu est disponible ICIBeaucoup de questions portent sur le Louvre Ă  Abou Dabi nous apprenons que, malgrĂ© les annĂ©es passĂ©es, seule l’üle qui va recevoir le bĂątiment est prĂȘte; mais rien d’autre n’est sorti de le Louvre Lens, le PrĂ©sident insiste sur le fait que tout le coĂ»t est Ă  la charge de la rĂ©gion qui accueille pas Ă©tonnant qu’il n’y ait pas eu beaucoup de prĂ©sident passe bien vite sur les 35 postes qui lui ont Ă©tĂ© repris et se fĂ©licite du soutien du gouvernement, tout comme il Ă©voque l’HĂŽtel de la Marine, dont il va se charger, sans ĂȘtre bien clair sur la certitude de la disponibilitĂ© des fonds nĂ©cessaires aux acquisitions .Puis je fais voter une motion de renvoi sur la PPL DoligĂ© qui propose de drĂŽles de mesures pour accĂ©lĂ©rer l’archĂ©ologie prĂ©ventive. Le clivage est classique gauche/droite donne un vote favorable. Nous apprenons que la commission des lois saisie au fond en a fait H RAPPORT DE LA COUR DES COMPTESAlarme globale sur l'Ă©tat des finances. Didier Migaud ne parle que 30 mn pour exposer 1600 pages de grands chantiers culturels, la protection sociale, les dĂ©ductions fiscales, et mĂȘme l intermittence sont citĂ©s. De la lecture attentive en H conf des PrĂ©sidentsDes originalitĂ©s- Le Ministre Ollier souligne comme il a bien pu travailler... Ca sent l'adieu. Il faut dire que c'est la derniĂšre confĂ©rence avant les on voit une PPL texte d origine parlementaire UMP de l'AN se glisser dans les journĂ©es rĂ©servĂ©es au enfin le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral me remet sa rĂ©ponse Ă©crite sur la composition des demande de prolongation des travaux au delĂ  de fĂ©vrier....20h RETROUVAILLESAvec les acteurs et militants de la debat sur la BIODIVERSITEA notre initiative, mais... L'hĂ©micycle est vide, Ă  l'exception de deux centristes, un socialiste et une communiste!En plus pour reprĂ©senter la parole du gouvernement sur la biodiversitĂ©, ils nous ont mis le ministre Douillet! Dans notre premier numĂ©ro consacrĂ© Ă  la culture, Quentin Meyer s’interroge sur les conditions de sa dĂ©mocratisation. La culture, paraĂźt-il, rassemble. Source intarissable de dĂ©bats, de partages ou de confrontations, elle semble en rĂ©alitĂ© davantage nous concevoir. Chacun des intĂ©rĂȘts culturels que nous portons sont autant d’agglos qui nous composent. D’oĂč l’idĂ©e selon laquelle la culture peut ĂȘtre une solution aux problĂšmes sociaux. Celles et ceux qui sont dĂ©jĂ  allĂ©s au théùtre de leur propre initiative le savent, il y a une bonne chance sur trois pour que la salle contienne un adolescent qui, venu avec sa classe de français, fait preuve d’un je-m’en-foutisme complet vis-Ă -vis de ce qui se joue sous ses yeux. Cet Ă©tat d’esprit peut ĂȘtre personnel. Il s’agit ici du fameux voisin de sĂ©ance de treize ans qui ronfle – au mieux sur son fauteuil, au pire sur votre bras qu’il enduit d’un gĂ©nĂ©reux filet de bave – ou reste fixĂ© sur son tĂ©lĂ©phone qu’il a malencontreusement oubliĂ© » d’éteindre. Mais dans d’autres cas, et c’est ce qui nous intĂ©resse ici, il peut s’agir d’un dĂ©ni extraverti, voire revendiquĂ©. Notre jeune adolescent s’arrange pour garder une mine naturelle tout en mangeant son sandwich volontairement bruyamment, se retourne pour faire des grimaces Ă  son voisin de derriĂšre ou hurle avec ses amis. En bref, le type qui apparaĂźt comme un terrible gangster aux yeux de la grand-mĂšre d’à cĂŽtĂ© et comme un dĂ©bile Ă  ceux de sa classe qui se contentent de l’observer de loin. Et enfin comme quelqu’un de finalement plutĂŽt normal Ă  ceux qui prennent le temps d’aller le connaĂźtre. La culture, un Ă©lĂ©ment essentiel Ă  l’éducation ? Difficile d’affirmer que la culture peut rĂ©ellement sauver les enfants qui prĂ©tendent lui faire barrage. Mais le lien entre dĂ©ni de la culture et rejet social est Ă©vident. Dans Un prĂȘtre chez les loubards, Guy Gilbert avait retranscrit l’ébahissement des journalistes dont il a Ă©tĂ© tĂ©moin lorsqu’il avait, au cours d’une revue de presse, soutenu que les plus dĂ©favorisĂ©s parmi les jeunes voyous » possĂ©daient rarement un vocabulaire dĂ©passant les deux cents mots. Soit-dit en passant, quel merveilleux spectacle a dĂ» ĂȘtre celui de journalistes Ă©crivant dans leurs carnets avec la mĂȘme mine que s’ils avaient Ă©tĂ© envoyĂ©s en reportage animalier. En bref, un comportement marginal semblerait gĂ©nĂ©ralement partir d’un manque d’épanouissement personnel vis-Ă -vis de l’éducation, que celle-ci soit scolaire ou parentale. Il convient de prĂ©ciser que ce manque quant Ă  l’éducation parentale ne laisse pas forcĂ©ment lieu Ă  un sentiment de rejet de la part de ses parents – le sens familial est mĂȘme parfois omniprĂ©sent dans cette entitĂ© marginalisĂ©e. Guy Gilbert en 2009. Photo Wikimedia Commons Or, la culture fait partie intĂ©grante de l’éducation. Jusqu’à un certain Ăąge, elle dĂ©pend principalement, sinon exclusivement, du modĂšle parental. En d’autres termes, un enfant ĂągĂ© de moins de quinze ans a peu de chances de s’intĂ©resser Ă  la poĂ©sie si ses propres parents considĂšrent la lecture de cette derniĂšre comme un loisir ennuyeux et rĂ©servĂ© Ă  d’autres couches sociales. MĂȘme un enfant sans lien fort avec ses parents calquera souvent sur eux inconsciemment, certes son dĂ©sintĂ©rĂȘt pour la culture sur ces derniers. Ce fait n’est pas compliquĂ© Ă  Ă©lucider quelle que soit l’affection que l’on porte Ă  sa famille, on tend Ă  s’imprĂ©gner ce n’est pas une universalitĂ© de la mentalitĂ© gĂ©nĂ©rale dĂ©gagĂ©e par cette derniĂšre. Pour s’en libĂ©rer, une profonde rĂ©flexion qui vient en gĂ©nĂ©ral assez tardivement est nĂ©cessaire ; rĂ©flexion Ă  l’issue de laquelle on se rend compte que les idĂ©es de fatalitĂ© ou de destin sont absurdes, et que se dire Je suis 
 de nature » relĂšve d’un certain manque d’esprit. Mais tant que cet effort spirituel n’a pas Ă©tĂ© fait, celui qui n’a pas Ă©tĂ© Ă©duquĂ© dans l’amour de la culture tendra Ă  rire volontairement de maniĂšre Ă  se faire entendre dĂšs qu’un enseignant lira un poĂšme, justifiant sa propre hilaritĂ© par un esprit terre-Ă -terre de sa part. Et, malheureux retour des choses, son camarade dont les parents ont axĂ© l’éducation sur la culture aura tendance Ă  mĂ©priser le premier, justifiant ce mĂ©pris par son autonomie supĂ©rieure. Aucun des deux ne daignera avouer, en gĂ©nĂ©ral, que son propre comportement n’est pas tout Ă  fait autodidacte. LE RESTE DE CET ARTICLE EST RÉSERVÉ À NOS ABONNÉS Combat est un mĂ©dia indĂ©pendant rĂ©munĂ©rĂ© uniquement par ses lecteurs et lectrices. Pour poursuivre la lecture de cet article, vous pouvez souscrire Ă  un abonnement web bouton ci-dessous. Vous pouvez Ă©galement vous procurer notre magazine dont est issu cet article ou souscrire Ă  un abonnement papier depuis notre page Boutique & Abonnement » dans notre menu. Merci ! 🙂 En RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo, des Ă©lĂšves ont Ă©tĂ© exclus des Ă©coles catholiques du pays aprĂšs avoir Ă©tĂ© filmĂ©s dans une vidĂ©o en plein Ă©bats sexuels. Des Ă©lĂšves sanctionnĂ©s en RD Congo. Des Ă©lĂšves en classe 5e annĂ©e d’un collĂšge de Kintambo Ă  Kinshasa ont Ă©tĂ© filmĂ©s en plein Ă©bats sexuels en uniformes dans une vidĂ©o qui circule sur les rĂ©seaux sociaux. Ce scandale a provoquĂ© la colĂšre des autoritĂ©s des Ă©coles catholiques. Selon ces apprenants sont exclus des Ă©coles catholiques du pays. La dĂ©cision a Ă©tĂ© prise sous la supervision du ministre de l'enseignement Primaire Secondaire et Technique, Tony Mwaba. D’aprĂšs le mĂ©dia congolais, le ministre a indiquĂ© qu’une action en justice n’est pas exclue. Une enquĂȘte est ouverte pour identifier les Ă©lĂšves visibles dans une autre vidĂ©o qui se trĂ©moussaient d’une maniĂšre obscĂšne devant les locaux de l’école. LIRE AUSSI Abomey-Calavi un pĂšre en prison, accusĂ© d'avoir enceintĂ© sa fille mineure

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