Infiltrationd eau au sous sol. Ă  quĂ©bec Ă  montrĂ©al et partout ailleurs 80 des vices cachĂ©s les plus frĂ©quents des maisons sont dus Ă  la prĂ©sence sournoise d eau ou d humiditĂ© dans la rĂ©sidence. Dans un premier temps le dĂ©faut du bien immobilier doit remplir 3 conditions rappelĂ©es Ă  l article 1641 du code civil. Le vice cachĂ© le plus frĂ©quent d une maison. BonjourĂ  tous, J'ai achetĂ© ma premiĂšre maison cet Ă©tĂ©. Elle date des annĂ©es 60. J'ai effectuĂ© l'achat par le biais d'une agence immobiliĂšre et je connais d’i Cest pourquoi je souhaite que vous appliquiez la garantie dont tout acheteur bĂ©nĂ©ficie au titre des vices cachĂ©s et dĂ©crite Ă  l'article 1641 du Code civil. BĂ©nĂ©ficier d'une rĂ©duction de Vay Tiền Nhanh. Le prĂ©sent billet va essentiellement s’adresser Ă  ceux qui ont achetĂ© un bien immobilier, mais il faut garder Ă  l’esprit que cela demeure valable pour tout type de vente. Je souhaite ainsi aborder, briĂšvement, la question des vices cachĂ©s du bien vendu, et tout particuliĂšrement de l’exclusion de garantie qui peut-ĂȘtre convenue. En effet, ceux qui ont achetĂ© un bien immobilier savent que gĂ©nĂ©ralement, au dĂ©tour de l’acte notariĂ©, se cache une clause indiquant que le vendeur est dĂ©chargĂ© de tout vice mĂȘme cachĂ© qui affecterait le bien. Et nombreux sont ceux qui, une fois l’achat fait, se mordent les doigts d’avoir acceptĂ© cette clause, Ă  raison des dommages qu’ils constatent a posteriori. Evacuons tout de suite un point l’acheteur n’aurait trĂšs certainement pas Ă©tĂ© en mesure d’éviter que cette clause ne soit inscrite. En effet, sauf Ă  ce que l’acheteur soit en importante position de force par rapport au vendeur, celui-ci voudra toujours inscrire cette limitation qui est susceptible de lui Ă©viter bien des tracas par la suite. C’est une clause de style, pour une vente immobiliĂšre elle ne sera que trĂšs rarement omise. Rappelons Ă  prĂ©sent le fonctionnement de la garantie des vices cachĂ©s elle bĂ©nĂ©ficie Ă  l’acheteur d’un bien qui prĂ©sente un tel dĂ©faut cachĂ© que l’usage du bien est impossible, ou tellement diminuĂ© que l’acheteur, s’il avait connu le dĂ©faut, soit ne l’aurait pas achetĂ©, soit l’aurait achetĂ© moins cher. Il faut donc que le dĂ©faut soit cachĂ© ; le dĂ©faut apparent est rĂ©putĂ© acceptĂ© par l’acheteur. En principe, le vendeur est donc tenu d’indemniser l’acheteur pour tous les dĂ©fauts cachĂ©s de la chose qui diminuent de façon importante l’usage de la chose ou le rendent impossible, mĂȘme s’il ignorait ce dĂ©faut. C’est lĂ  qu’arrive la clause habituellement insĂ©rĂ©e dans les actes notariĂ©s de vente d’immeuble. En effet, le Code Civil dispose que dans le cas oĂč le vice cachĂ© n’est pas connu du vendeur, celui-ci peut contractuellement stipuler qu’il ne sera pas tenu Ă  la garantie. Si l’on traduit, voilĂ  ce que ça veut dire le vendeur qui ignore tout des Ă©ventuels vices cachĂ©s a le droit de se dĂ©charger de la garantie. Autrement dit, le vendeur de bonne foi, persuadĂ© que son bien est exempt de vices cachĂ©s, prend alors la prĂ©caution de s’exonĂ©rer de la garantie qui pourrait lui ĂȘtre demandĂ©e si par la suite, d’aventure, l’acheteur dĂ©couvrait un vice. DĂšs lors, la bonne foi du vendeur est essentielle. S’il Ă©carte dans l’acte notariĂ© toute garantie de vice, et ce parce qu’à sa connaissance, il n’y en a pas, la clause d’exclusion de garantie est parfaitement valable. A l’inverse, si le vendeur connaissait l’existence du vice, la clause d’exclusion de garantie insĂ©rĂ©e dans l’acte est nulle. Reste pour l’acheteur Ă  rapporter la preuve – et ce n’est pas toujours Ă©vident – que le vendeur Ă©tait conscient de l’existence du vice cachĂ©. Dans ces conditions, si l’acheteur, victime de manoeuvres du vendeur, parvient Ă  prouver que celui-ci lui a cachĂ© des vices dont il avait connaissance, il est fondĂ© Ă  demander soit une diminution du prix, soit le remboursement du prix, concomitant avec la restitution du bien. Des dommages et intĂ©rĂȘts sont mĂȘme envisageables. Autrement dit, ce n’est pas parce que votre vendeur vous a cachĂ© des choses, voire vous a induit en erreur, tout en insĂ©rant une clause d’exclusion de garantie, que vous ne pourrez jamais rien rĂ©clamer et que vous serez piĂ©gĂ©. Photo par Licence Creative Commons ModĂ©rateur snoupy RĂšgles du forum Recommandation consultez les RĂšgles d'usage du Forum et conformez-vous Ă  la Charte du Forum Juridissimo. Merci de respecter le principe d'anonymisation pas de nom de personne physique ou morale, ni de marque. Besoin d'un conseil juridique par tĂ©lĂ©phone en toute confidentialitĂ©? Laissez vos coordonnĂ©es et un avocat vous rappelle gratuitement. cyber31 Nouveau membre Messages 2 Inscription 18 avr. 2016, 1925 Achat maison vice cachĂ© concernant canalisation et remontĂ© d'eau Bonjour, J'ai achetĂ© une maison y'a 2 mois, lors des travaux de rĂ©novation j'ai constatĂ© que l’écoulement d'eau ne se faisait plus, tuyau complĂštement bouchĂ©. De plus lors de forte pluie j'ai eu une remontĂ© par les Ă©gouts. J'ai donc contactĂ© l'agence immobiliĂšre qui a contactĂ© le propriĂ©taire afin d'en savoir plus. Pour les canalisations bouchĂ©es ils ne sont soit disant pas au courant, et pour la remontĂ© d'eau il en on eu que une soit disant et ont dit qu'il fallait mettre un clapet anti-retour. D’oĂč ma question pour l’évacuation bouchĂ© s'agit il d'un vice cachĂ©? Et de mĂȘme pour la remonter d'eau s'agit il d'un vice cachĂ©? Et qui doit payer cette installation? Merci de vos rĂ©ponses Besoin d'un conseil juridique par tĂ©lĂ©phone en toute confidentialitĂ©? Laissez vos coordonnĂ©es et un avocat vous rappelle gratuitement. Moderateur-01 ModĂ©rateur Messages 17573 Inscription 03 nov. 2013, 1751 Twitter ID juridissimo Google+ ID +JuridissimoDotCom Re Achat maison vice cachĂ© concernant canalisation et remontĂ© d'eau Message par Moderateur-01 » 03 juin 2016, 1803 Bonjour, Le vice cachĂ© se dĂ©finit donc comme le dĂ©faut que l'acheteur ne pouvait pas dĂ©celer, compte tenu de la nature de la chose vendue, et dont il n'a pas eu connaissance au moment de la vente article 1641 du code civil. Dans le cas oĂč l'acheteur constate, dans les deux ans Ă  compter de la connaissance du vice, que la chose vendue est affectĂ©e d'un vice, il peut choisir article 1644 du code civil d'annuler la vente et ainsi demander le remboursement du prix contre restitution de la chose-de demander la remise en Ă©tat de la chose au vendeur, de demander la restitution d'une partie du prix de la chose coĂ»t de la remise en Ă©tat. Et d'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le vendeur est tenu de communiquer Ă  l'acheteur toutes les informations en sa possession au moment de la vente sur la situation de l'immeuble. Cette obligation s'impose au vendeur professionnel ainsi que le vendeur particulier qui doit recueillir toutes les informations utiles et ne peut dĂ©gager sa responsabilitĂ© en prĂ©textant de son ignorance. Et nous vous informons que le manquement Ă  l’obligation d’information peut ĂȘtre sanctionnĂ© sur le fondement du dol. La nullitĂ© de la vente peut, en effet, ĂȘtre prononcĂ©e sur le fondement de l’article 1116 du Code civil. Tous les agissements malhonnĂȘtes visant Ă  surprendre une personne en vue de lui faire souscrire un engagement qu'elle n'aurait pas pris si on n'avait pas usĂ© de la sorte envers elle, peuvent ĂȘtre qualifiĂ©s de manƓuvres dolosives ArrĂȘt de la Cour d'appel de Colmar du 30 janvier 1970. Mais il s'agit, le plus souvent, de rĂ©ticence dolosive. En effet, le dol peut ĂȘtre constituĂ© par le silence volontaire du vendeur, dissimulant Ă  son cocontractant un fait qui, s'il avait Ă©tĂ© connu de lui, l'aurait empĂȘchĂ© de contracter. Ainsi un simple mensonge peut constituer un dol ArrĂȘt de la 3Ăšme chambre civile de la Cour de cassation du 6 novembre 1970. Vous devez alors prendre contact avec un avocat afin de bien prĂ©parer votre dossier de dĂ©fense. Cordialement, 1 776 par Moderateur-01 20 fĂ©vr. 2020, 2022 2 1295 par Tisuisse 09 sept. 2019, 0747 2 563 par ConsultAv 04 mars 2020, 1810 0 499 par yaggo 22 juin 2020, 1129 2 534 par ConsultAv 06 fĂ©vr. 2020, 1103 Vices cachĂ©s et dĂ©fauts de construction Les vices cachĂ©s et les dĂ©fauts de construction
 Comment les dĂ©tecter? Que faire et dans quels dĂ©lais? Est-ce que tout est garanti? 
 Les vices cachĂ©s et dĂ©fauts de construction, c’est donc le sujet de la chronique du jour. DĂ©couvrez ou redĂ©couvrez l’interview du 18/06/19 dans l’émission Tout s’explique » sur Radio Chablais, en compagnie de Pascal Rabl, directeur chez Blue Immobilier SA. Retranscription de l’interview Qu’est-ce qu’un vice cachĂ© ? Un vice cachĂ©, c’est un dĂ©faut d’une chose tel qu’il la rend impropre Ă  l’usage auquel elle est destinĂ©e, ou qui diminue tellement cet usage que l’acquĂ©reur ne l’aurait pas achetĂ©e ou l’aurait achetĂ©e Ă  moindre prix s’il en avait eu connaissance. VoilĂ  la dĂ©finition gĂ©nĂ©rale du vice cachĂ©. Pour vous donner un exemple en matiĂšre d’immobilier, ça pourrait par exemple ĂȘtre un chauffage qui ne fonctionne pas. Vous achetez une maison en Ă©tĂ©, vous n’allez pas forcĂ©ment tester les radiateurs, donc lĂ , on pourrait parler de vice cachĂ©. Comment est-ce qu’on diffĂ©rencie un dĂ©faut visible d’un vice cachĂ© ? En fait, lorsqu’on parle de vices cachĂ©s, il faudrait que plusieurs conditions soient avĂ©rĂ©es PremiĂšrement, le vice doit ĂȘtre antĂ©rieur Ă  la vente, et pas apparaĂźtre aprĂšs. DeuxiĂšmement, vous ne devez pas avoir eu connaissance du vice au moment de la vente. Donc si on vous a prĂ©venu que le chauffage ne fonctionne plus, vous ne pourriez pas prĂ©tendre Ă  un vice cachĂ©. TroisiĂšmement, le vice ne doit pas ĂȘtre apparent. En tant que particulier, il faut savoir que votre Ɠil n’est pas celui d’un expert. Pour finir, le vice doit diminuer trĂšs fortement l’usage du bien, voire le rendre inutilisable. Si toutes ces conditions sont rĂ©unies, alors on peut parler de vices cachĂ©s. Est-ce que les dĂ©fauts visibles sont garantis quant Ă  eux? Non. En fait, lorsque vous achetez un bien immobilier d’occasion, il y aura toujours un paragraphe du contrat de vente qui dĂ©charge le vendeur de tous les dĂ©fauts que pourrait possĂ©der l’immeuble. Cependant, cette condition sera nulle si le vendeur a frauduleusement dissimulĂ© Ă  l’acheteur les dĂ©fauts de la chose. Cette loi est prĂ©cisĂ©e dans l’article 199 du code des obligations Suisse. LIEN ARTICLE 199 CO ICI Qu’est-ce qu’on entend par frauduleusement dissimulĂ©? Je vous donne un exemple. Imaginons que vous vendez une maison, et que vous avez un problĂšme d’étanchĂ©itĂ© au niveau de la toiture. A chaque fois qu’il y a un orage vous avez des fuites et les murs prennent l’humiditĂ©. Vous avez un acquĂ©reur qui s’intĂ©resse Ă  votre maison, vous refaites vite la peinture, et vous ne l’informez pas du problĂšme. Alors dans ce cas de figure, l’exclusion de garantie serait nulle car le dĂ©faut a Ă©tĂ© frauduleusement dissimulĂ©. Parce que dans les faits, le vendeur sait pertinemment qu’il y a un problĂšme d’isolation, mais il ne le dit pas au vendeur. Pire encore, il refait la peinture afin que tout soit propre lors de la visite. L’acheteur, de bonne fois, ne peut pas savoir qu’il y a un soucis d’étanchĂ©itĂ©. Donc lĂ , il y a tromperie. AprĂšs, ce qui est compliquĂ© avec ce texte de loi, c’est qu’il faut rĂ©ussir Ă  prouver que le vendeur Ă©tait bel et bien au courant du problĂšme, et que celui-ci a Ă©tĂ© volontairement cachĂ©, ce qui n’est pas tout le temps Ă©vident suivant les cas. Et pour les objets immobiliers neufs, il y a tout de mĂȘme des garanties je suppose? Oui tout Ă  fait. L’exclusion de garantie, c’est uniquement pour les biens immobiliers d’occasion. Maintenant, pour tout ce qui est biens immobiliers neufs, vous avez Ă©videmment des garanties de construction, ainsi que des garanties pour tout ce qui est machines et appareils. Quel est le dĂ©lai de ces garanties? Les dĂ©lais de garanties et de prescriptions commencent Ă  courir dĂšs la rĂ©ception de l’ouvrage. Ils sont de deux ans pour les dĂ©fauts apparents. Par exemple, un soucis avec une porte ou une fenĂȘtre qui ne se ferme pas, du carrelage mal posĂ© ou fissurĂ©, etc. Le dĂ©lai est de 5 ans pour les dĂ©fauts cachĂ©s. Par exemple; ce serait un problĂšme d’étanchĂ©itĂ© et vous avez des moisissures qui apparaissent suite Ă  un pont de froid. Et pour tout ce qui est vices dissimulĂ©s, le dĂ©lai est de 10 ans. Mais lĂ  encore, il faut pouvoir prouver que le dĂ©faut a Ă©tĂ© volontairement cachĂ©, ce qui n’est pas Ă©vident. Et pour ce qui concerne les appareils? Par exemple le lave vaisselle, le four, etc? Le dĂ©lai minimum est de 2 ans. Cela peut ĂȘtre plus long suivant l’électromĂ©nager que vous achetez, oĂč suivant l’entreprise gĂ©nĂ©rale avec laquelle vous travaillez. Quels sont les dĂ©lais pour signaler les Ă©ventuels dĂ©fauts? Ca dĂ©pend sous quelle rĂ©glementation se rĂ©fĂšre votre contrat d’entreprise gĂ©nĂ©rale. Est-ce qu’il se rĂ©fĂšre aux normes SIA, ce qui est le cas la plupart du temps, ou au Code des obligations. J’ouvre une petite parenthĂšse Ă  propos des normes SIA. Donc SIA signifie SociĂ©tĂ© suisse des ingĂ©nieurs et des architectes. C’est une association professionnelle de rĂ©fĂ©rence des spĂ©cialistes de la construction, de la technique et de l’environnement. La SIA Ă©labore, tient Ă  jour et publie un grand nombre de normes, rĂšglements, directives, recommandations et documents divers, qui sont indispensables Ă  la branche suisse de la construction. Donc si on se rĂ©fĂšre Ă  la norme SIA 118, Conditions gĂ©nĂ©rales pour l’exĂ©cution des travaux de construction », le dĂ©lai est de 2 ans, Ă  compter de la rĂ©ception de l’ouvrage pour invoquer en tout temps les dĂ©fauts apparaissant pendant cette pĂ©riode. Par contre, si vous tardez Ă  les signaler, vous devrez supporter vous-mĂȘme le dommage supplĂ©mentaire qui aurait pu ĂȘtre Ă©vitĂ©s. Par exemple, si vous avez des infiltrations d’eau, et que vous attendez plusieurs mois pour signaler le problĂšme, alors s’il y a un gros orage et que votre bien est complĂštement inondĂ©, ce sera Ă  vous d’assumer les consĂ©quences parce que vous avez trop tardĂ© pour signaler ce problĂšme. Et le dĂ©lai vis-Ă -vis du Code des obligations? Si votre contrat se rĂ©fĂšre au CO article 367, alors le dĂ©lai d’annonce est diffĂ©rent. AprĂšs la livraison de l’ouvrage, le maĂźtre d’ouvrage doit vĂ©rifier l’état aussitĂŽt qu’il le peut d’aprĂšs la marche habituelle des affaires
 En cas de constatation de dĂ©fauts, le maĂźtre d’ouvrage est tenu de les signaler immĂ©diatement Ă  l’entrepreneur. Donc il y a une vĂ©ritable diffĂ©rence entre ces deux normes, oĂč vous avez 2 ans pour les signaler pour SIA, et immĂ©diatement pour le CO. Pour ce qui est des dĂ©fauts cachĂ©s, qui apparaissent aprĂšs l’expiration du dĂ©lai de dĂ©nonciation des dĂ©fauts de 2 ans, le vous devez les signaler aussitĂŽt aprĂšs leur dĂ©couverte, que l’on se rĂ©fĂšre Ă  la norme SIA ou au CO. LIEN ARTICLE 367 CO ICI CLIQUEZ ICI POUR VOIR LA SUITE DE LA CHRONIQUE Retrouvez toutes nos autres chroniques immobiliĂšres en cliquant ICI. Pour ne manquer aucun de nos Podcasts, abonnez-vous Ă  notre chaĂźne YouTube en cliquant ICI. Interview rĂ©alisĂ©e par Radio Chablais, en compagnie de Rabl Pascal Directeur chez Blue Immobilier SA

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